Bal de la Saint Valentin. La soirée des amoureux!

Bal de la St. Valentin

Ahh... La St. Valentin...
C'est le moment de l'année ou les couples se resserrent le plus, oublient les tracas du quotidien, se font des sorties rien qu'à deux, dansent, se font des cadeaux...
Mais c'est aussi le jour préféré par les amoureux transits, les célibataires, de faire leur déclaration à l'élu(e) de leur coeur.
Bref, un jour ou toute guerre n'est même pas pensée. Un jour où l'amour, juste l'amour est mis à l'honneur.
Mais n'oubliez pas que sur Poudlard-Shadow, tout arrive, et rien ne dit que les mangemorts passent la journée en amoureux... s'ils sont capables d'aimer.

Durée du bal: à définir.

Concours: Soyez les plus beaux et faites les plus belles réponses pour gagner des points. On est ici pour s'amuser!
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*Non, non, non et non ! Je vais la couper cette mèche, elle m'énerve !*

Il était dix-huit heures et cela faisait environ quarante bonnes minutes que Keiji s'embêtait à faire tenir ses cheveux comme il le souhaitait. Il essayait de les coiffer de façon ébourrifés, l'impression de revenir dehors alors que le vent soufflait très fort. Le miroir du dortoir des garçons était assez large pour qu'il puisse voir la salle pratiquement en entier de derrière, et assez long pour qu'il puisse s'admirer jusqu'aux pieds. Il paraissait etre habillé de façon plus élégante qu'à l'habitude : il avait mit son uniforme blanc aux grosses coutures noires, le haut ayant des replis qui lui donnait un air chic, son pantalon blanc parfaitement repassé sans plis jusqu'à ses chevilles où là la fin du pantalon était plié volontairement. Il portait des chaussures blanches de soirée bien cirées. Il restait plus que sa coupe de cheveux où une mèche un peu en haut de son front l'agacait. Il voulait qu'elle retombe sur ses sur-cils mais décidément il devait avoir un épi. Il avait quasiement utilisé le contenu de son pot de gel, il ne lui en restait qu'une noisette pour en finir avec cette mèche rebelle. Il ouvrit le robinet et passa de l'eau au niveau des racines de sa mèche, gratta pour bien qu'elle soit mouillée, prit une serviette et secha la mèche devint alors souple, facilement magnable. Il plongea un doigt dans le pot de gel et l'applica sur sa mèche, puis la fit redescendre vers son sur-cil droit. a son grand soulagement, celle-ci se plia a ses désirs. L'arrière de ses cheveux était redressé et tout ebourriffé et tenait presque naturellement, seul le gel donnait un petit coup de pouce. Fier de lui, il recula du miroir et se contempla. Il se dit que si jamais ce soir il ne plaisait pas au moins a une fille, jamais il ne ressortirait danser, bien qu'il soit sur a 100% de son travail. Il manquait tout de même une touche de couleur dans ses vêtements blancs et noirs accompagnés de sa chevelure blonde naturelle. Pour la St-Valentin, une rose rouge serait la bien venue. Il regarda autour de lui, cherchant quelque chose lorsqu'il vit une rose rouge dans un vase posé sur sa table de chevet. Il la prit et la mit dans une poche extérieur située sur son torse de sa veste. La fille qui aura l'honneur de porter cette rose sera la fille avec qui il se sera le plus amusé. Espérant que la chanceuse sera la fille qu'il trouve si jolie, espérant également qu'elle serait présente a cette soirée car il aurait tellement aimé danser, ne serait-ce qu'une seule danse avec elle...

A dix-neuf heures quarante, Keiji sortit de la salle commune où presque la totalité des garçons de Poufsouffle demandaient l'avis de leur tenue à leur ami, les filles, elles, devaient certainement attendre dans leur dortoir, ne voulant pas que les garçons les voient avant que la soirée ne soit commencée. Le chateau était plutot calme, malgrè quelques petits dialogue entre amis, certain stressés, d'autre enthousiastes au sujet de la soirée. Des rumeurs couraient que les Mangemorts seraient peut etre là. La soirée promettait d'être émouvante. Il espérait rencontrer la belle Lùuna, la seulle fille qu'il trouvait à son goût dans Poudlard.

il était arrivé devant les deux grandes portes ouvertes de la Grande Salle. La salle était magnifique ! La couleur dominante était le rouge et le rose, avec quelque tons de bleu clair. Il y avait des coeurs un peu partout, et des anges survolaient les grandes tables qui étaient contre le mur droit de la salle, où des friandises et des sucreries y étaient disposées. Il n'y avait pas beaucoup de lumières mais tout ceci était véritablement romantique, tout pour passer un merveilleux moment avec celui ou celle que l'on aime. Sur la scène se trouvait un orchestre. Il n'y avait pas beaucoup de monde arrivé pour le moment, il y avait seulement deux ou trois professeurs et une vingtaine d'élèves dont parmis eux ne figurait pas la fille qu'il attendait, malheureusement. Mais celle-ci, pensait-il, ne tarderait pas à arriver. Il vint s'assoire sur une chaise disposée contre le mur gauche de la salle et attendit que les autres élèves fassent leur entrée, sachant que s'il y avait un problème, il serait là, en tant que préfet, pour arranger le mal-entendu.

Lùuna regardait d'un air rêveur le plafond du dortoir des filles, couché dans son lit. En faite, elle ne le regardait pas vraiment, elle réfléchissait si elle allait oui ou non venir à ce bal de la St Valentin, malgré que cela ne soit pas le jour exact, elle avait été mise au courant que cela allé durer plusieurs semaines. En faite, elle avait surtout peur d'être la seule sans cavalier, de rester assise sans rien dire, sans rien faire, comme les six dernières années qu'elle avait passé ici =='. Elle se leva alors, se disant qu'il fallait quand même tenter le coup... C'était quand même la dernière année qu'elle allait passer dans l'établissement, autant en profiter au maximum. Elle regarda alors sous le lit, avant de tirer vers elle une énorme valise grise, qu'elle plaça avec difficulté sur le lit. Elle l'ouvrit et commença à jeter sur le côté tous les habits inutiles, se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir mettre. Son choix se fit alors sur une courte robe rouge assez large et des petites converses de couleur identique. Elle se mit un rouge à lèvre rouge vif et alla se placer devant un miroir qui ornait une grande commode où les filles entassaient leurs vieux livres. Elle laissa ses cheveux tel quel, soit, en les coiffant, et regarda l'heure sur la vieille pendule du dortoir. Le bal venait tout juste de commencer, il n'y aurait encore personne, donc elle préféra attendre pour pouvoir se fondre dans la foule plus facilement, sans se faire remarquer. Après vingt minutes de grande réflexion sur ce qu'elle allait bien pouvoir faire une fois arrivé là bas, elle se décida enfin à gagner la porte du dortoir et de descendre lentement les marches, en direction de la grande salle où devait se dérouler le Bal. Il y avait un petit attroupement d’élèves qui était déjà présent, mais Lùuna n'y prêta guère attention, elle se dirigea plutôt vers un petit bar improvisé ou de la bière au beurre était offerte. Elle en prit une avant de balayer la salle d'un regard, recherchant une connaissance. Son regard s'arrêta alors sur un jeune garçon qu'elle croisait très souvent et auquel elle avait déjà adressé plusieurs fois la parole. Quand leurs regards se croisèrent, elle lui fit un sourire, et reporta son attention sur la bière au beurre qu'elle faisait lentement tourner entre ses mains.

* Lùuna ne dit pas de conneries si il vient >__<" *

Petit à petit la grande salle de remplissait de monde. Il n'y avait que deux ou trois professeurs d'absents, peu d'anciens élèves mais une énormité de nouveaux jouaient et criaient à travers la salle. En revanche, il n'y avait pas de mangemorts pour le moment. *Tant mieux* se dit-il. néanmoins, plus les élèves entraient dans la salle, et moins Keiji se faisait enthousiaste. La belle Lùuna n'était pas encore arrivée, mais il ne fallait pas pour autant perdre espoir. Il ne cessa de regarder par la grande porte, mais en vain. Il changea de direction et regarda vers le bar lorsque... Le rythme de son coeur s'accèlera lorsqu'il la vit, là, près du bar tenant une bière au beurre a la main. Elle était magnifiquement vêtue d'une robe rouge, assez large qui l'a mettait parfaitement bien en valeur, ses longs cheveux noirs détachés, elle était tout a fait craquante ! Il croisa son regard, celle-ci lui fit un sourire. Keiji ne put s'empecher de le lui rendre, il se leva de sa chaise et s'avanca gaiement vers elle. A un mètre d'elle, il lui prit la main, s'agenouilla et la baisa.

-Voudriez vous avoir l'honneur, chère Demoiselle, d'être ma cavalière pour cette soirée ?

~~[ Vive les mini-post XD ]~~

Détournant la tête du merveilleux sourire que lui avait fait Keiji en signe de réponse, Lùuna laissa en plan sa bière au beurre, faisant semblant d’être très intéressé à un lustre en forme d'ange qui parsemé à côté d’autre identiques le plafond. Des tonnes de décorations y étaient d'ailleurs, que cela soit des cœurs ou des nœud papillon d’un rouge vif. La seule chose dérangeante du moment présent était les premières années qui couraient en tous sens, ne pensant qu'à s'amuser et non pas à avoir de la tranquillité ou de danser. La pensée qu'elle aussi devait faire la même chose avant la fit silencieusement rigoler. Elle prit alors un air neutre en voyant Keiji à quelques mètres d'elle, continuant à avancer. Une fois arrivé près d'elle, il se mit à genoux, lui prit la main, et lui posa la question tant attendu : Il lui demanda d'être sa cavalière d'une façon merveilleuse et délicate. Elle lui fit alors un grand sourire et regarda autour d'elle, elle avait l'impression d'être semi-éveillé, comme si l'excitation l'avait fait changer d'état. Elle regarda alors dans les yeux Keiji avant de lui dire doucement...

- L'honneur ? La chance serait le thermes le plus approprié. C'est avec une grande joie que j'accepte votre demande...

Lorsqu'il eut finit sa phrase, pendant quatre secondes il s'était demandé si elle allait refuser. Lorsqu'elle le regarda dans ses yeux, Keiji fut parcourus d'un doux plaisir sucré.

Lùuna : L'honneur ? La chance serait le thermes le plus approprié. C'est avec une grande joie que j'accepte votre demande...

Ses lèvres s'étendirent alors d'un large sourire montrant ses dents blanches bien encadrées. La soirée allait être joyeuse, il s'en réjouissait.

-Vous m'envoyé ravir, Beauté Sublime.

Il lui fit un clin d'oeil et se releva. L'orchestre avait déjà commencé a jouer, c'était une jolie valse qui entrainait le pas des danseurs au milieu de la salle. Il n'y en avait pas beaucoup par ailleurs, mais Keiji s'en moquait pas mal. Il gardait toujours dans sa main celle de Lùuna qui était douce. Comme un gentleman, il invita Lùuna sur la piste de danse en s'inclinant légèrement, celle-ci s'avanca en le remerciant. Il la suivit derrière, le sourire toujours monté aux oreilles. Lùuna s'arrêta dans un petit vide de couple sur la piste de danse, là où tout deux danseraient.

-Êtes-vous prête ? lui dit-il en ironisant.

Il comptait gaiement lui faire passer un moment intense, la faire danser toute la nuit jusqu'à ce qu'elle soit totalement épuiser. Il la prit tout doucement par la taille, pour ne pas l'effrayer inutilement, sa main droite étant déjà dans sa main gauche, il s'apprêtait a la faire danser incessement.

Le 14 Février... Il y a trois jours, Yûki avait reçu une invitation au bal de la St Valentin de Poudlard. Sarkas n'avait sans doute pas oublié ce que l'on avait fait il y a quelque mois, elle et le Seigneur, mais peut etre lui laissait-il une autre chance, peut etre encore que les surveillances et les protections du chateau étaient renforcées, oubien voulait-il peut etre parler, ce qui était, pensait-elle, moins probable que les autres solutions néanmoins il y avait une chance de possibilité. Elle avait longuement hésité de venir mais avait finit par accepter, bien qu'elle était presque certaine de ne pas danser de la soirée. Qui voudrait s'amuser avec un vampire ? Mais elle n'y allait pas forcément pour danser...
Hier, elle avait passé la journée a chercher quelque chose de convenable dans les anciennes amoires de ses grands parents, morts d'il y a environ vingt ans. Leur maison n'avait meme pas été jugé, elle était rester tel quel mais, bien qu'elle soit viellie aujourd'hui, avec un peu de magie tout pouvait rentrer dans l'ordre. Elle avait donc cherché, mais n'y avait rien trouver, juste des vieilles robes démodées qui n'étaient pas du tout a son gout. Elle voulait se vêtir de quelque chose d'original pour une fois, mais s'était résignée à porter sa courte robe de soirée noire dentelée qui lui retombait sur ses cuisses.
Les portes devaient ouvrir a 20h, il était déjà 19h50 et elle ne s'était meme pas habiller. Elle n'avait guère envie d'y aller, et serait en retard s'il le fallait, ce qui ferait une entrée encore plus théatrale. Elle avait héritée d'un énorme manoir a la mort de son oncle et de sa tante suivie du reste de leur famille. Elle n'y allait quasiment jamais, seulement lorsqu'elle n'avait pas d'autre refuge oubien qu'elle voulait y prendre un objet qui lui appartenait, car oui, elle avait enménager a l'intérieur. Il y eut beaucoup de plainte posées sur cette maison, et beaucoup de visites du ministère y avaient été produites. Mais étant donné la rareté de sa présence dans cette maison, ils étaient venus pour rien. Elle s'y trouvait ici ce soir pour s'habiller et se préparer. Elle monta au deuxième étage dans l'ancienne chambre de son petit cousin, qui était depuis récemment sa chambre et fouilla dans une très vieille commode en bois de meurisier sa robe de soirée qui était correctement pliée sous de la dentelle qui semblait être des voiles noirs. Près d'un énorme lit a deux personnes mais qui pouvait facilement en contenir quatre a condition de ne pas être de trop grosse corpulence, se tenait un très long miroir au cadre d'or. Il y avait des gravures qui représentaient les signes des vampires nobles d'un coté et purs de l'autre, sur le haut et le bas, mélangés. Le miroir était sale et portait beaucoup de fissures et de cassures, il était très ancien. Elle mit un bon quart d'heure a enfiler sa robe, étant seule, il était difficile de resserer le corcé pour fermer sa robe. Elle ne choisit pas de coiffure spéciale, se releva simplement les cheveux a l'aide d'une pince en forme de rose noire et des mèches qui lui retombèrent par ci et par là sur la tête. Elle était belle certes, mais elle ne voulait pas trop attirer l'attention sur elle au cours de cette soirée. Elle avait mis des collants transparents noirs et des chaussures de soirée a talons plutot hauts avec une rose noire en guise de motif. Elle avait aussi un collier aux perles noires extrêmement précieuses, un bijou de famille qui avait hérité depuis des générations. Elle s'était légèrement maquillée les yeux de mascara et de crayon noir, et avait enveloppé ses lèvres de rouge. En revanche, son visage était naturellement blafard. Elle était a la fois élégante et très jolie, mais de l'autre, on voyait que ce n'était pas une femme ordinaire, et qu'il valait mieux rester a l'écart de toute communication. Une personne non fréquentable.

Elle descendit au salon et regarda l'horloge : 21h05. *Il serait peut etre tant d'y aller cette fois-ci* se dit-elle.
Yûki prit soin de bien verifier que la maison était en sécurité avant de transplaner devant le portail ouvert gigantesque du chateau. Il y avait deux hommes qui se tenaient devant les portes, ce devait être des gardes, peut etre des gens du ministere qui se tiendraient présent s'il se passait quelque chose.
*Je ne vois pas comment je ferais pour m'en sortir si quelque chose tournait mal, je ferais mieux de me tenir a carreaux*.
Elle fouilla d'une main dans sa poche gauche et en ressortit un petit comprimé blanc qu'elle mit dans sa bouche et avala.
*Ceci devrait restreindre mes envies pendant trois ou quatre heures...*
Elle entra donc dans le parc plongé dans l'obscurité, en jetant un regard mauvais aux gardes puis entra dans le hall pleinement décoré. Il y avait des coeurs et des anges, des papillons et... Mais tout ceci était absolument laid ! L'amour... C'était presque ecoeurant.
Les portes de la grande salle étaient ouvertes, la musique résonnait dans la salle et déjà des couples dansaient au milieu de la pièce. Il y avait une forte odeur de sucreries et de patisseries, ce qui donna un petit dégout a Yûki. Lorsqu'elle traversa la salle pour aller se poster seule sur une chaise dans un coin près du bar, tout le monde se mit a la regarder. Apparement, les élèves avaient du la reconnaitre.

Quelle soirée. C'était à peine si notre beau professeur avait le temps de se remettre de ses cours. Les élèves de première année son vraiment instables, ils n'arrêtent pas de courir dans tout les sens, et exige une démonstration de celui que l'on appelait il y à longtemps "Le génie du Quidditch". Hisagiri Shuuhei, désomais, cet homme ne fait plus partie des légendes du Quidditch, il a arrêté il y à bien longtemps de cela, aprés la tragique mort de son camarade de jeu et aussi meilleur ami. Finalement, le cours à put se terminer sans encombre, et notre jeune homme s'était désormais retirer dans sa chambre. Même de là ou il était, il pouvait entendre les ricanements des garçons et les cris de joie des filles, qui tout deux ce préparaient pour fêter la St-Valentin. Cette fête, Hisagi s'en fiche éperdument, il n'a jamais éprouvé de sentiment à l'égard d'une femme. Mais maintenant qu'il y repensse, cette fête pourrait être le théâtre de quelques disputes entre élèves, ou pire, celui d'une rencontre avec des mangemorts.

Aprés quelques minutes d'extrême concentration, Hisagi se décida à allé à la fête, bien que se soit sans grande conviction. Il se leva de sur son lit et s'approcha de son armoire avec une mine exaspérente. Il ouvrit l'armoir et observa chaque recoin du meuble avec la plus grande attention. Même en allant à cette fête, il se devait d'être un minimum présentable. Son choix se porta sur un costar noir, tout ce qu'il y a de plus typique. Il sortit le vêtement et le lanca sur son lit. A présent il lui fallait de quoi se chausser, son regard se tourna donc vers le fond de l'armoir, il se baissa et chercha une paire de chaussure. Son choix se porta alors sur une paire de chaussure qui irait très bien avec son costume. Maintenant, il ne lui reste plus qu'à s'habiller.

Notre beau professeur enleva son haut, nous laissant aperçevoir ses magnifiques tablettes de chocolats qu'il entretien tout les jours. Il jeta au même moment un petit coup d'oeil par la fenêtre, de là, il avait une magnifique vue.
Hisagi continua ce qu'il était en train de faire et s'habilla par la suite. Il se chaussa par la même occasion. A présent, notre jeune homme c'était transformé en magnifique prince chamant, digne des plus grand compte de fée. Il se dirigea vers une glace qui était juste à la droite de l'armoire, il se regarda furtivement puis prit la porte. Il était tard, Hisagi était légèrement en retard. (Pour ne pas dire beaucoup).

C'est en entendant les hurlements des étudiantes completement sous le charme de notre beau jeune homme, que ce dernier traverssé avec vitesse les couloirs du chateau pour se rendre à la grande salle. Il se tenait désormais devant la porte d'entré, il ne manquait plus qu'à l'ouvrir pour que Hisagi commence sa soirée, qui s'avère ennuyante...

Il poussa les portes et entra avec discrétion dans la pièce, mais même en se faisant aussi petit qu'une souris, toutes les étudiantes remarquèrent le beau jeune homme, elles le fixèrent tout le long du trajet vers un bar qui était en retrait. C'était très génant pour Hisagi, qui se forca à ne pas rougir de honte. Il s'assit à côté d'une jeune femme, qu'il n'avait apparament pas remaqué. Du moins, jusqu'à ce qu'il lui donne un légé coup de coude dans le bras en voulant resserer son noeud de cravate. Hisagi tourna son regard vers la jeune femme, qui était absolument splendide. Des petites pomettes rougeâtres apparurent sur le visage completement désorienté de notre professeur qui ne savait absolument pas quoi dire face à cette beauté. Plus il la regardé, plus le taint de sa peau devené rouge. Il bégaya ses quelques mots :

- Excu...Excusez...Excusez-moi !

L'ambiance de la fête était plutot sympa, en revanche cela ne lui plaisait guère. Elle aimait les endroits calmes et sombres et cette soirée était bondée de cris de bruits de paroles et de musiques, sans parler des lumières flashantes qui décoraient la salle. Lorsque les élèves avaient commencé a détourner le regard de sur Yûki, celle-ci s'était légèrement mise plus a son aise. Quelques minutes plus tard, alors qu'elle commencait déjà a s'ennuyer, il y eut des cris qui ressemblaient plus a ceux des filles. Les étudiantes avaient toutes les yeux rivés sur l'entrée de la salle. Yûki regarda a son tour. Il y avait là un homme très élégant vetu d'une tenue de soirée avec une cravate. Il avait les cheveux mi-longs bruns légèrement en broussaille et portait un bandage blanc au niveau de son visage coté gauche, mais cela ne nuisait pas a sa splendeur, au contraire, ceci lui donnait un air de combattant. Comme elle, il devait se sentir gêné d'attirer l'attention des visages mais c'était plutot flatteur pour lui car elle, ce n'était que par dégout ou par peur pour les élèves. L'homme qui,devait-elle admettre, était très charmant, vint s'assoire a coté d'elle, mais ne semblait pas l'avoir remarqué. Il avait l'air très tendu, c'est pourquoi il lui donna malencontreusement un coup de coude lorsqu'il voulu réajuster sa cravate. Celui ci la regarda d'un air désolé et confus. Yûki put remarqué qu'il commencait a rougir sous l'effet de cet accident. Il ne lui avait pourtant pas fait mal...

Lui : - Excu...Excusez...Excusez-moi !

Yûki le regarda. Il avait un très bel oeil bleu, l'autre étant caché par son bandage, qui mettait encore plus en valeur son visage semblant mystérieux. Elle lui fit un sourire.

- Oh ce n'est rien. Ne vous inquietez pas.

Elle était bien aimable pour quelqu'un comme elle, ceci ne lui était pas naturel mais valait-il mieux paraitre de bonne figure si tout devait se passer normalement et dans de bonnes convictions.

La jeune femme à côté d'Hisagi fixait ne cessait de fixer notre pauvre professeur tout intimidé. Et malheureusement pour notre beau jeune homme, la belle princesse lui sourit. Imaginez le visage de notre jeune professeur.
Elle lui dit d'un ton pour le moins naturel:

- Oh ce n'est rien. Ne vous inquietez pas.

A la grande surprise de notre jeune Hisagi, la jeune femme en face de lui avait une très belle voix, légèrement aïgu, mais très sensuel. Il détourna son regard du sien en esseillant de reprendre son calme. Notre beau professeur avait un petit tic, celui de renouer sa cravate ou redresser son col de chemise lorsqu'il était gêné. A ce même moment, Hisagi serra un peu trop le noeud de sa cravate et toussa grossièrement. Il tenta de se reprendre en demandant à la jeune femme :

- Hmm..Excusez-moi...Je ne vous ais jamais vue ici. Vous êtes du personnel ?

Hisagi avait retrouvé son calme, et fixa le regard de la jeune femme avec ses beaux yeux bleu en amande. Il ne dit rien de plus, laissant la jeune femme répondre à sa question, si elle le souhaite biensûre.
Quelques secondes passèrent, notre jeune homme avait toujours son regard plongé dans celui de la belle inconue, mais plus les secondes s'écoulaient, plus le temps semblait long, les élèves s'amusaient, c'était le principal.
Il remarqua une chose, Hisagi n'avait toujours pas donné son nom à la jeune femme, et surtout, il ne savait pas du tout comment elle se nommait.
Notre beau professeur reprit avec un ton serieu, qui cachait quand même beaucoup de choses...

- Je ne me suis pas présenté, mon nom est Hisagi Shuuhei, j'enseigne le vol en balais magique aux élèves et donne des cours d'entraînement aux élèves de Quidditch. Et vous ? Votre nom doit certainement être aussi beau que vos yeux.

Hisagi ne dit rien d'autre, étrangement la dernière phrase qu'il avait dit à la belle inconue était pour le moins très surprenante. Notre jeune professeur n'est pas du genre à offrir de tel compliments à une autre personne. Mais bon, c'est vrai que la jeune femme possédait de magnifiques prunelles.

Le 14 février. Qu’est-ce que cette date inspire à la plupart des gens? L’amour, bien sûr, la fête des amoureux, la St Valentin! Pourquoi avoir choisi ce jour là pour célébrer de tels sentiments? Cette question, Will se l’était toujours posée , chaque année. Il n’avait jamais obtenu de réponse, tout simplement car il n’avait jamais été assez stupide pour la poser à quiconque. On ne pose pas de telles questions, allons. C’est pour les romantiques et les pleurnichards, l’amour. William avait déjà beaucoup trop aimé dans sa jeunesse, et avait toujours été déçu. Oui, par sa famille, ces bons à rien, ces infâmes criminels. C’était de leur faute que sa petite sœur était morte. Et par chaque meurtre que Will commettait, il sentait qu’un peut de sa vengeance était consommée. Mais la soif de tuer était peu à peu entrée en lui, et pour lui c’était devenu un jeu, quelque chose d’amusant et d’indispensable. Vous aurez compris que l’amour était un sentiment banni du cœur du mangemort aussi blond que son cœur était noir. Noir de haine et de vengeance.
Cela faisait à peine une semaine, un peu plus, que Will avait été relâché. Azkaban était derrière lui à présent. Il avait acheté un petit appartement avec la bourse de réinsertion donnée par le ministère, dans la banlieue Londonienne. Un tout petit appartement, dans un HLM plein de moulus méprisables. Un quartier de barres d’habitations sale et cassé de partout, dont les murs gras étaient recouverts de tags affreux inscrits par les jeunes et les rebelles de la cité. William détestait cet endroit et le fuyait comme la peste, préférant passer la nuit ailleurs. Il multipliait les rencontres et sortait tout les soirs, draguant des filles pour passer la nuit chez elles. Il s’amusait, mais il lui manquait quelque chose. Son maître ne les avait toujours pas appelés, eux, ses fidèles mangemorts. Avait il un plan? Une idée derrière la tête? Will n’en savait rien. Depuis sa sortie de prison, il n’avait contacté aucune de ses connaissances dans le domaine mangemort. Il lui tardait de revoir ses collègues, car il appréciait certains d’entre eux. Notamment la jolie Yuki Aido, qu’il connaissait depuis Poudlard. Il aimait beaucoup cette femme, non pas parce qu’elle était jolie, mais il s’entendait bien avec. Et puis c’était une vampire, ce qui l’avait toujours intrigué. Il lui tardait de savoir ce qu’ils avaient fait depuis qu’il était enfermé dans l’horrible prison isolée en plein océan, entouré dans sa cellule par les épouvantables détraqueurs. Ils avaient sûrement tenté des attaques de Poudlard. Quoi qu’il n’en savait rien, et peut-être que les objectifs avaient changé depuis le temps.
Enfin, le 13 février, William était rentré chez lui après une nuit chez une jeune femme qui était complètement bourrée. Il avait profité de son hospitalité en déjeunant chez elle puis avait volé tout ce qu’il avait pu, malgré les cris, injures et menaces de la fille. Il était parti en n’oubliant pas d’effacer la mémoire de sa partenaire temporaire. Tout heureux de sa moisson, il avait rempli le frigo de la nourriture volée et avait allumé une télé trouvée chez une vielle femme. Elle fonctionnait parfaitement bien. Il avait toujours été curieux de savoir à quoi cela pouvait servir aux moldus. Il avait fait venir un installateur chez lui, qui lui avait branché la télévision puis été reparti, après que notre cher mangemort l’ai dépouillé de son argent et lui ai effacé la mémoire. Eh, on est méchant ou on ne l’est pas!
Il avait d’ailleurs été surpris de voir que cette machine était une invention formidable. Mais comme il détestait les moldus, il ne pouvait le croire et se convainc que c’était inutile et stupide. Pour souligner ses dires, il avait cassé la télé. Très énervé contre lui-même, William alla se dégourdir les jambes, en descendant les 7 étages pour prendre son courrier. Une fois remonté, après avoir fait un sacré exercice physique, il ouvrit ses trois lettres. Deux étaient de stupides factures moldues. Il les balança immédiatement dans la cheminée, elles alimenteraient le prochain feu. Mais la troisième était une enveloppe faite en parchemin. Il la reconnut immédiatement au sigle. Cette même enveloppe, il l’avait reçue à ses onze ans, puis tout les ans à la suite pendant sept ans. Elle venait de Poudlard. C’était peut-être Sarkas qui lui écrivait. Qu’est-ce que voulait cet immonde traître à son sang, ce fichu bon à rien, cet idiot? Intrigué, Will ouvrit la lettre et la parcouru rapidement des yeux. Il avait comprit l’essentiel. Orlon l’invitait au bal de la St Valentin, au titre d’anciens amis. Quel abruti. Stupide fête. S’il croyait qu’il irait, il se mettait le doigt dans l’œil. Bien que… S’il invitait tout ses « anciens amis », certains de ses collègues auront des chances d’y être. C’était à voir. Rapidement.
William passa la soirée chez lui. La nuit. Et la journée suivante. Incroyable. Il avait réussi à supporter les cris des voisins du dessus, sûrement en plein divorce, et ceux de ses voisins du dessous, qui devaient certainement avoir une dizaine d’enfants de cinq ans pour produire autant de volume sonore…
Toute la nuit, il avait réfléchi à cette invitation, et avait décrété qu’il se rendrait au château le soir même. Pas pour les beaux yeux de Sarkas, loin de là. Il se rendit alors en ville et alla acheter un costume très simple. Il n’y allait pas pour draguer des filles, ni pour être le roi de la soirée, mais pour essayer d’avoir des nouvelles du mouvement mangemort. Il rentra donc chez lui et se passa le costume, pressé d’être au soir. Il avait gardé son invitation, au cas où on la lui demanderait. La journée passa vite, William révisait tout ses sorts de combats. Enfin, la soirée arriva et il regarda sa montre au moment du pause. 19h50. Bah, il n’était pas à dix minutes prêt. Il s’autorisa dix minutes d’entraînement en plus mais ne vit pas le temps passer. Il resta une heure de plus chez lui, jusqu’à ce qu’il se rende compte de son énorme retard. Il ne s’affola pas, et prit le temps de manger un morceau avant de partir. Une fois son repas fini, il se leva et regarda à nouveau l’heure. 21h10. Cette fois, il était temps d’y aller. Il transplanta et se retrouva directement devant l’entrée du parc. Il franchit le portail, gardé par deux sorciers, sûrement des aurors. Il se dit qu’il ne tuerai sûrement personne ce soir là, pensa-t-il ironiquement.
Il traversa rapidement le par cet le Hall d’entrée, et ouvrit les portes de la Grande Salle. Des regards se tournèrent vers lui, mais il s’en fichait. Il parcourut la salle des yeux et fut content d’apercevoir Yuki, assise dans un coin en train de parler à un homme qu’il ne connaissait pas. Il remarqua qu’elle s’était bien habillée pour l’occasion. Il avança vers elle, passant sans gêne par la piste de danse et alla s’asseoir sur une chaise près de la vampire.

William - Salut Yuki, comment ça va depuis le temps?

- Hmm..Excusez-moi...Je ne vous ais jamais vue ici. Vous êtes du personnel ?

Il semblait en effet, très gêné. Peut etre n'avait-il pas l'habitude de fréquenter les femmes, par ailleurs c'était le soir de la Sain Valentin. Lorsqu'il lui posa cette question, Yûki s'en posait plein d'autre. Devait-elle commencer par se présenter oubien devait-elle attendre plus tard, voir pas du tout. Il est vrai que si cet homme était attiré, on ne sait jamais, et qu'il était du bon coté, par conséquent ennemi avec elle, peut etre que cela ne lui ferait pas plaisir. Mais elle n'eut pas le temps de répondre que éjà il lui posa une autre question.

- Je ne me suis pas présenté, mon nom est Hisagi Shuuhei, j'enseigne le vol en balais magique au élèves et donne des cours d'entraînement aux élèves de Quidditch. Et vous ? Votre nom doit certainement être aussi beau que vos yeux.

A l'enchainement de cette dernière phrase, Yûki rougit, sourit et baissa la tête pour ne pas que l'on remarque cet effet. Elle aimait les compliments mais des comme ca, le dernier datait de sa troisième année ici lorsqu'elle avait recu une déclaration d'amour. Mais elle hésitait encore a se présenter. Alors c'était un professeur de Poudlard. Oui, que cela pouvait-il être d'autre pour que les étudiantes soient folles de lui. Elle lui souria.

- Je vous remercie, vous êtes fort bien aimable. Je m'appelle Yûki Aido et je suis.. euh..

Elle eut un blocage. Est-ce que cela ferait bonne figure ? De toute manière, elle n'avait pas la moindre honte d'être ce qu'elle était, elle en prenait la plus grande fierté, et tant pi pour les autres. Elle le regarda, toujours le sourire aux lèvres.

-.. Mangemort.

A ce moment, et à son grand étonnement, un homme qui lui était familier passait a travers la piste de danse, l'ignorant completement. Yûki le regarda bizarrement, plissa les yeux pour appronfondir ses traits. Une chevelure blonde, un homme de bonne taille, plutot charmant. Oui, c'était bien lui ! William ! Mais que faisait-il donc ici ?

William - Salut Yuki, comment ça va depuis le temps?

A ces mots, on aurait dit que cela ne faisait que deux mois qu'il ne s'était plus revus. Mais cela tournait autour des dix-qinze ans ! Yûki était boulversée, encore sous le choc de revoir son ancien camarade de classe, partenaire avec Sarkas pendant ses sept années a Poudlard, son collègue Mangemort là, devant elle, comme si de rien n'était. Le ministère avait donc décidé de le libérer d'Azkaban. Elle faisait les gros yeux.

-William ? Mais... mais que fais-tu donc ici ?

Le bal de la Saint Valentin ... Asaya n'avait jamais connue cela avant. Ou du moins elle ne se rappellait pas. Comme beaucoup de choses ! Pour combler son manque de connaissance, la jeune Gryffondor avait décidé de s'y rendre. Grâce à l'aide de quelques camarades, la jeune fille avait une tenue des plus correctes. Robe rouge et or, aux couleurs de sa maison, cheveux détachés ondulant sur ses épaules, ses camarades de chambres étaient restées bouches bées devant cette apparition. Asaya, heureuse de sa tenue, descendit donc dans la grande salle, pressée de voir la décoration. Ballons roses et blancs, une multitude de coeurs ensorcellés volant un peu partout, les elfes s'étaient donnés vraiment du mal pour rendre la salle agréable.

Regardant autour d'elle, un sourire aux lèvres, la demoiselle remarqua rapidement un groupe d'adulte en train de discuter. Mais dans ce groupe, une personne surtout retint son attention. S'adossant au mur pour ne pas tomber, sous le tremblement de ses jambes, Asaya ne quittait pas Yuki des yeux.

Mais que fait-elle là ? Ce n'est pas possible, je dois rêver.

Ce n'était qu'un murmure, mais la Gryffondor cherchait à se rassurer.

Hisagi observait, non sans grande attention les jeunes élèves danser comme si de rien n'était, ignorant totalement les professeurs présent dans la salle. Notre jeune homme lui n'oserait pas danser devant tout le monde, et encore moins proposer à une jeune fille d'être sa cavalière ! C'était beaucoup trop gênant pour notre brutte au petit coeur timide. M'enfin bref, revenons à la discussion avec la jeune demoiselle en face de lui. Hisagi c'était présenté, aprés tout, c'est la moindre des politesse non ? 'fin bref, à la fin de sa phrase il dédiaun petit compliment, remplit de sincérité à la belle inconue. Cette dernière eut une réaction un peu étrange aux yeux de notre professeur, en effet, des petites plaques rougeâtres apparurent sur ses joues. Hisagi n'était pas du genre à draguer, mais bon, autant flatter les jolies filles, au moins, il ne passe pas pour un bourrin avec autant de sensibilité qu'une petite cuiellère. Tient ! Notre belle inconue lui répondit finalement aprés quelques secondes de silence :

Je vous remercie, vous êtes fort bien aimable. Je m'appelle Yûki Aido et je suis.. euh..

Yûki Aido...Yûki signifie neige en Japonais, ce prénom lui allait très bien, en effet, sa peau était aussi blanche et pure que la neige. Oui, vraiment très beau prénom que celui-ci. Bizzarement, elle ne finit pas sa phrase, pourtant, il n'y a aucune honte à révéler sa profession, du moins si on en possède une. Aprés quelques seconde d'hésitation de la part de Yûki, elle répondit finalement avec un sourire à faire chavirer le coeur de plus d'un :

-.. Mangemort.

Hisagi fronça les sourcils, que fait un mangemort ici ? C'est vraiment étrange, tout autant que la beauté de Yûki. Notre beau professeur resta muet, son visage s'était endurci, il resta de marbre face à cette révélation pour le moins inattendue. Hisagi n'avait rien contre les manges morts, du moins jusqu'à cet accident lors d'un match de Quidditch. En effet, le cognard qui a blesser son oeil gauche et qui a tuer son meilleur ami, a était ensorcelé par un mangemort. La raison de ce geste était très simple. Hisagi était un génie du Quidditch, mais pas seulement, et ça, les mangemorts le savent pertinament. 'fin bref, Hisagi resta dés à présent sur la défensive. Il n'avait pas prit sa baguette, jugeant plutôt par sa force brute pour effrayer les petits malins.

*Je devrais allé chercher ma baguette...*

Notre beau professeur se leva de la chaise ou il s'était assis. Il jeta un bref regard vers la jeune femme pour lui dire ses quelques mots :

-Je reviens. J'ai oublié un objet très important.

Sur ses belles paroles pour le moins "Froides", notre jeune homme se retourna, mais il croisa le regard d'un autre homme, inconue à ses yeux. cette même personne adressa la parole à Yûki. Hisagi ne dit rien et se dirigea vers les portes.

La salle était déjà bien remplie d’élèves et de professeurs. Mais plus le temps s’écoulait et plus elle se remplissait. La soirée promettait d’être longue… Des petits anges flottaient dans la grande salle, jetant des confettis en forme de petits cœurs rouges vifs sur les groupes des personnes et sur les couples, apportant des déclarations à certaines personnes, récitant des poèmes, chantant des chansons d’amour en toutes langues. Un ange tout rose et gras passa à côté des deux mange morts en chantant de tout ses poumons une chanson d’amour anglaise. William le regarda d’un air inexpressif, puis parcourut de nouveau la salle des yeux. Alors il vit passer le jeune homme qui discutait avec Yuki quelques instants plus tôt. Il semblait irrité, en colère. Son amie lui avait-il mit un beau râteau ou bien lui avait-elle simplement dévoilé l’une des ses deux sombres facettes? Bonne question, en tout cas cela décrocha un sourire satisfait à Will. Sacrée Yuki, toujours la même.

Yuki- William ? Mais... mais que fais-tu donc ici ?

Il sourit à nouveau, de toutes ses dents, d’un grand sourire sincère. Ce qu’il faisait ici? Il n’était sans doute pas venu conter fleurette avec une jeune fille de l’école, ni venu serrer chaleureusement la main de Sarkas. Et puis quoi encore. S’il était venu, c’était dans l’espoir de voir un de ses camarade mangemort. Et la chance lui avait souri, non seulement il en avait rencontré une, mais en plus c’était l’une de ses seules amies. Il pourrait ainsi lui parler en toute confiance, savoir précisément les plans du seigneur car elle en était proche, et en plus pouvoir se remémorer des choses avec elle. Bref, cette soirée qui promettait d’être terriblement ennuyeuse lui apparut tout à coup comme intéressante et paisible, agréable.

William- Ce que je fais ici? Je prends l’air!

Le mangemort rit un bon coup, même si ce n’était pas spécialement drôle. Mais sortir peut importe l’endroit et les personnes à fréquenter, lui semblaient être comme un grand soulagement et un grand bol d’air à chaque fois. Après des années en enfer, tout était bon pour lui. Il regarda Yuki dans les yeux, d’un air très sérieux et désigna de son index gauche un homme qui se tenait debout un peu plus loin. D’un air éloquent et assez mauvais, il exprima sa pensée.

William- Ce très cher Sarkas a cru bon de m’inviter à sa petite fête romantique. Il a dû penser qu’Azkaban m’a fait redevenir son ami.

Après quoi Will le jaugea du regard, à distance, et une grimace fendit son visage. Il eut un ricanement moqueur. Après quoi il se rendit compte qu’il avait soif et fit venir vers lui un verre d’alcool. Il attrapa son verre tranquillement puis s’affala sur sa chaise, ne quittant pas le directeur des yeux.
Au bout d’une petite minute il reporta son attention sur son amie.

William- Toi aussi il t’a invitée? Au fait pourquoi cet homme bizarre est parti? Il semblait en colère. Tu as refusé sa demande pour une danse?

Il s’esclaffa, ne sachant rien de cet homme mais rien qu’à sa vue il pensait bien qu’il n’avait rien d’intéressant. Et avec son bandeau il avait l’air ridicule. Sans doute le concierge ou un petit prof. Toujours affalé majestueusement sur sa chaise, il porta le verre à ses lèvres, se délectant de cette délicieuse boisson. Elle venait de Pré-au-Lard. Un tel parfum, un tel délice ne s’oubliait pas. Et après un séjour à Azkaban en compagnie des détraqueurs, boire quelque chose d’aussi bon que ça était un véritable plaisir.

C’était le jour de la Saint Valentin, à Poudlard, comme partout dans le monde. C’était aujourd’hui que se retrouvaient les amoureux selon la tradition. C’était également aujourd’hui que les célibataires se sentaient affreusement seuls au monde et tentaient désespérément de trouver quelqu un avec qui passer la journée.

Chris était seul depuis longtemps déjà, quelques années. Deux, s’il comptait bien. Sa dernière copine l’avait quitté car il ne voulait pas fonder de famille, il ne se sentait pas encore prêt. Elle était partie, en pleurs, et depuis le jeune prof n’avait plus jamais eu de nouvelles. Autant dire qu’il l’avait assez mal digéré. Ça lui était resté en travers de la gorge. Bref, le jour de la St Valentin n’était pas le plus beau jour de l’année pour lui. De toute façon, il n’avait jamais vraiment pris au sérieux cette fête. C’est bien une fête où on se fait des câlins et où on s’offre des cadeaux, mais c’est censé être comme ça tout le temps dans un vrais couple. Il n’avait jamais vraiment compris le but d’une telle journée. Et il la supportait difficilement depuis deux ans.

Mais il était impossible à quiconque de passer à côté de cette fameuse fête. En tout cas, à Poudlard, on ne parlait que de ça et du bal depuis deux semaines. Des couples se formaient pour l’occasion, on se cherchait un cavalier ou une cavalière, et les amoureux, eux, n’y pensaient pas vraiment. La vérité était qu’un bal de prévu générait une sacrée euphorie, surtout et majoritairement chez les filles. La plupart des garçons n’avaient pas envie de montrer leurs prouesses en danse à tout le monde. Mais chacun tâchait de se trouver une tenue digne de ce nom, une robe de soirée, un joli costume, moldu ou sorcier. Le principal était d’être la plus belle, le plus élégant.

Chris avait eu du mal ces derniers jours à tenir convenablement ses cours. Les élèves semblaient plus préoccupés par l’évènement du samedi soir plutôt que par leurs devoirs ou par les dires de leur professeur. Il instaura alors des cours de théorie ennuyeux au possible, conscient qu’il ne réussirait à tirer d’eux aucun intérêt. Et puis inconsciemment, des cours terriblement lourds et ennuyeux étaient une façon de se venger d’eux. Eux qui allaient s’amuser, et pas lui. Il bouda donc pendant quelques jours, pour le plus grand étonnement de ses collègues, lui qui était à l’accoutumée joyeux et souriant.

Et puis le grand jour arriva. Le château était désert pour un samedi. Tous les élèves s’étaient enfermés dans leurs dortoirs pour se faire beaux, les filles plus longtemps que les garçons. Chris alla se balader dans le par cet alla voler un peu sur le terrain de Quidditch avec son collègue qui enseignait le vol. Il passa une bonne matinée puis alla manger, discutant normalement à table, peut-être un peu moins que d’habitude, le visage un peu plus fermé. Il alla ensuite dans son bureau corriger un tas de copies en retard, puis un autre, puis encore un autre, jusqu’au plus tard possible. Mais on vint le chercher, c’était aux professeurs de travailler à la décoration, comme d’habitude. Il soupira puis s’habilla, d’un costume de soirée très simple passant inaperçu, mais tout de même très élégant et qui lui allait comme un gant. Il se regarda dans la glace et se dit qu’il n’était pas si mal, tout compte fait. Riant tout seul, il sortit de son bureau et rejoint ses collègues en traînant les pieds. Pas la peine de préciser qu’il fut le moins efficace et productif de la soirée. Ils accueillirent ensuite les premiers élèves et invités, une fois leur labeur terminé. Chris afficha un sourire qui sonnait faux et alla s’asseoir dans un coin, la mine renfrognée. Il regarda pendant un moment les gens s’amuser puis des élèves de septième année avec qui il s’entendait très bien vinrent le voir et le tirèrent de son coin. Il dansa un moment avec eux, puis avec une de ses collègues, puis retourna s’asseoir, euphorique, ayant bu quelques verres entre temps. Il se dit que finalement il ne s’ennuierait peut-être pas autant qu’il l’aurait cru ce soir là.

Cela devait faire à peu près une bonne heure que la fête avait débuté, et Chris allait de groupes en groupes, discutant un moment avec telle ou telle personne, puis se resservant un verre. Arrivé à un moment, il pensa qu’il serait peut-être bon de freiner la consommation d’alcool, s’il voulait garder son travail…

Alors qu’il parlait avec une jeune Serdaigle de sixième année, une femme entra dans la salle. L’esprit un peu embué au début, il ne la reconnut pas mais elle lui disait quelque chose. Elle alla s’asseoir et se mit à discuter avec Hisagi. Ah tiens, il l’avait reconnu, lui. Perdant peu à peu le fil de la conversation avec l’élève, il se rendit compte alors de l’identité de la femme qui avait fait son apparition. Yuki Aido. Encore cette vampire! Comment Sarkas avait-il pu l’inviter à nouveau? Il resta bloqué là, à la regarder, surpris. Puis Hisagi se leva et s’en alla, apparemment frustré, voire en colère. Sentiment que ressentait à présent également Chris. Il s’excusa auprès de la jeune fille puis rejoint son collègue.

-Hisagi!

Une fois arrivé à sa hauteur, il scruta les yeux de son interlocuteur. Qu’avait-elle pu lui dire pour qu’il soit dans cet état?

-Qu’est-ce qui c’est passé avec cette… femme? Est-ce que tu sais qui elle est?

Chris n’en revenait toujours pas. Inviter une mangemort à Poudlard! Elle avait beau être une amie de Sarkas, c’était dangereux, pour tout le monde. Et après l’attaque cet automne, on savait qu’un nouveau « seigneur des ténèbres » avait fait apparition, et qu’il en voulait sérieusement à Poudlard.

Songeant à tout cela, se posant un tas de question, sur ses gardes, Chris observa la porte de la Grande Salle qui s’ouvrait à nouveau. Un homme de forte carrure, aux cheveux courts et blonds entra à son tour. C’était comme dans un rêve. Ou plutôt un cauchemar. Chris reconnut immédiatement son frère, et tout ce qui se passait alentours lui paraissait flou.

-Non! Non, c’est pas vrai…

C’était impossible… A cette vision, il crut recevoir un coup de poignard particulièrement violent dans le ventre. Il eut très mal, et eut la nausée. Tant de choses improbables, impossibles, tant d’émotions en si peu de temps, c’était trop demander. Il crut faire un malaise. Resserrant son poing autour de sa baguette, qu’il avait instinctivement attrapée à la vue de Yuki, au point qu’il aurait pu la broyer.

William alla rejoindre Yuki sur la chaise laissée vide par Hisagi.

Chris regarda à nouveau Hisagi, inquiet et maîtrisant difficilement son estomac. Pourquoi avait-il bu autant de verres?

Hisagi avait radicalement changé d'expression lorsque Yûki lui avait révélé sa nature. Un objet important ? Quel objet ? Une arme anti-mangemort ? De toute façon, le seul qui serait en tord question agression ou combat, se serait lui s'il l'attaquait, car elle était invitée par Sarkas, bien qu'elle n'était pas ici pour danser ou encore discuter avec les petits profs du collège, et n'avait pas bouger depuis on arrivée. Sa baguette, était soigneusement rangée et cachée dans une poche de sa robe dentellée mais facile a attraper en cas de coups foireux. Le professeur de vol avait totalement changer d'attitude, bizarrement. Peut etre l'avait-elle dégoutté, lui qui semblait attiré par elle. Il était partit chercher quelque chose "d'important", disait-il. Peu importe après tout, elle s'en fichait pas mal. William était arrivé, et c'était une chose qui la réjouissait plus que tout. Elle n'aurait jamais pensé qu'il viendrait ici, sa présence était au dela de ses espérances. Cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Il prenait l'air ? Non, il avait quelque chose derrière la tête.

William- Ce très cher Sarkas a cru bon de m’inviter à sa petite fête romantique. Il a dû penser qu’Azkaban m’a fait redevenir son ami.

Il éclata de rire, et Yûki lui fit un sourire. Il n'avait pas changer... Bien qu'il était sombre et assez impressionnant, avec elle et quelques autres mangemorts, il avait souvent le don de l'amuser. Elle venait seulement de remarquer son costume. Il avait meme prit la peine de s'habiller pour la soirée. Décidément, il était surprenant. Mais ce costume lui allait comme un gant. Jamais elle ne l'avait vu vetu comme cela, elle s'avoua qu'elle le trouvait plutot charmant.
Elle regarda la salle qui s'était un peu plus remplit depuis son arrivée, pendant que William prenait un verre d'alcool. Elle cherchait une personne... Ou deux peut etre. Lors de la soirée d'Halloween, le nouveau professeur de défenses contre les forces du mal avait parler de William. C'était son frère. Si le frère de William était ici, il se pourrait qu'il y ait des choses qui dégénèrent, sauf s'ils ne se parleraient pas de la soirée. *Restons vigilants, tout peut arriver maintenant que Will est ici*. Elle tomba sur une fille. Une jeune fille dont le visage lui était singulièrement familier. Oui... elle l'avait croisé plusieurs fois, deux pour être exacte. Lors de l'attaque surprise de Poudlard, elle l'avait prit en otage avec le reste des autres élèves. Cette petite fouineuse, si elle ne s'était pas permis de se balader hors du chateau en pleine nuit, peut etre aurions-nous réussit ce que l'on souhaitait faire... Et puis la nuit de la pleine lune, vampire...
Elle ferma les yeux deux secondes, et fit comme si elle ne l'avait pas remarqué.

William- Toi aussi il t’a invitée? Au fait pourquoi cet homme bizarre est parti? Il semblait en colère. Tu as refusé sa demande pour une danse?

Une danse ? Non... Shuuhei paraissait beaucoup trop timide pour proposer une danse a une femme.

-Non, répondit-elle. Il semblait... Et bien en fait, lorsque je lui ai dit qui j'étais, il a totalement changé d'attitude. Il avait l'air méfiant, et je crois que s'il est parti c'est pour aller chercher quelque chose pour se défendre.

Elle s'arreta une seconde. Elle venait de tomber sur deux personnes : Hisagi qui reparait et... *Non ! il est là celui là !*. Elle venait de croiser la silhouette de Chris Barker, le frère de William. Il avait un verre a la main, mais, de la position où elle se trouvait, Yûki pu appercevoir des paumettes extremement rouges. Etait-il saoul ? *Je crois qu'on va bien s'amuser...* Elle leva la tête et regarda William. Elle lui dit :

-Je crois que la soirée va s'annoncer a la fois... Intéressante et mouvementée.

Elle lui sourit gentillement.

A présent, la Grande Salle était pleine à craquer, et la plupart des gens s’amusaient sur la piste de danse, bien que beaucoup préféraient discuter calmement sur le côté. Enfin, plus ou moins calmement. L’alcool était réservé, bien entendu, au majeurs, grâce à un sort de reconnaissance de l’âge. Ce système simple mais efficace n’avait pas changé depuis la génération de Yuki et William, Sarkas avait fait du bon travail… Bien sûr, cette pensée était ironique dans l’esprit de l’aîné Barker. Jamais il ne reconnaîtrait un tel fait, même si c’était vrai. Borné. Oui, c’était un mot qui le qualifiait plutôt bien. Un résumé de son caractère, le trait dominant, celui qu’on remarquait immédiatement, même après quelques minutes seulement de conversation avec lui.
Il porta à nouveau le verre à ses lèvres, détaillant chaque personne qui se trouvait dans la salle. Ses yeux s’arrêtèrent à nouveau sur l’homme qui parlait avec Yuki juste avant. Il s’arrêta brusquement, apparemment interpellé par quelqu’un. Curieux, Will s’apprêtait à suivre l’échange et regarder qui était ce quelqu’un, mais son amie prit la parole et il tourna la tête vers elle. Il aurait le
temps pour suivre l’échange plus tard.

Yuki- Non, il semblait... Et bien en fait, lorsque je lui ai dit qui j'étais, il a totalement changé d'attitude. Il avait l'air méfiant, et je crois que s'il est parti c'est pour aller chercher quelque chose pour se défendre.

William eut à nouveau un rictus. C’était vraiment une bande de trouillards. Et puis s’ils avaient suffisamment de neurones pour réfléchir, il concluraient que la présence de mangemorts au château n’avait rien d’affolant. Car il était impossible d’entrer à Poudlard lorsqu’on porte la Marque des Ténèbres quand on y est pas invité. Et tenter un coup au milieu d’élèves plus ou moins expérimentés, de professeurs et d’aurors revenait au suicide. Et puis le bon Sarkas les avait sûrement prévenus, au moins les adultes. William était convaincu de l’authenticité de ses pensées, même s’il ne connaissait pas toute l’histoire. Après tout, peut-être s’était-il passé quelque chose ces derniers temps dans ce château. Peut-être le maître avait-il tenté d’entrer à Poudlard. Non, ridicule, sinon pourquoi Sarkas aurait-il prit le risque de les inviter, eux, purs mangemorts loyaux et fidèles? Il était idiot, mais tout de même pas à ce point. Enfin, il l’espérait pour lui.
Will fit un sourire éloquent à Yuki. Ils se comprenaient. S’ils étaient ici, ce n’était certainement pas pour risquer leurs vies. C’était sur invitation de leur ancien ami. Le blond bien costaud ne dit rien et but une nouvelle gorgée, puis finit d’un trait son verre. Il l’envoya se reposer sur une table et amena à lui un autre verre. Fénéant, oui, c’était sûr. Il croisa le regard de Yuki et lui fit un clin d’œil.

William- Aucun risque, je tiens très bien l’alcool.

Il eut un nouveau petit rire et se perdit à nouveau dans la contemplation des sorciers remplissant la salle. Au bout d’un moment, il se tourna vers la vampire et ouvrit la bouche pour lui demander des nouvelles des plans du maître, mais il fut coupé dans son élan car son amie parla avant lui.

Yuki- Je crois que la soirée va s’annoncer a la fois… Intéressante et mouvementée.

William, stupéfait, garda la bouche ouverte puis la referma lorsque Yuki lui sourit amicalement. Pourquoi disait-elle cela? Il regarda dans tout les sens pour essayer d’apercevoir une quelconque dispute ou bien une de leurs mauvaises connaissances s’avancer vers eux, mais personne. Il ne voyait même pas Sarkas. Will s’assit convenablement sur sa chaise et pencha la tête vers Yuki, la regardant d’un air interrogateur.

William- Pourquoi? Il y a quelqu’un de drôle ici? Ou un ennemi, un idiot…

Pas de réponse mais un air filou. Un air qui le faisait fondre et qui en même temps hâtait son impatience et son intérêt. Un nouvel ange vint alors leur adresser un poème mais William lui lança un regard assassin et le fit fuir avec sa baguette, malgré ses protestations bruyantes. Il regarda à nouveau les yeux de son amie, insistant.

William- Allez, dit quoi…

William- Pourquoi? Il y a quelqu’un de drôle ici? Ou un ennemi, un idiot…

Non, pas exactement. Quelqu'un de drôle ? Peut etre, s'il était saoul cela pouvait etre amusant a voir. Un ennemi ? Oh oui... c'était une grande menace pour eux les Mangemorts. Il était très compétent il faut dire, elle l'avait bien remarqué lors de l'attaque surprise. Un idiot ? Non certainement pas... Elle ne lui répondit pas tout de suite. Cela lui ferait peut etre plus d'effets William voyait son frère par lui même.

William- Allez, dit quoi…

C'était sur... Il devait se douter qu'elle parlait de son frère, mais il voulait peut etre se tromper. Elle ne connaissait pas plus que ca leur relation. Elle ne connaissait pas non plus par ailleurs son enfance et son histoire, mais pour que William se retrouve dans la même situation qu'elle, c'était certainement qu'il avait eut un passé assez froid.

-Regarde... Près du bar, il y a un homme, un homme avec un verre a la main.

Il regarda instinctivement dans la direction indiquée. Il ne semblait par avoir encore faire tilt. Comment pourrait-il réagir lorsqu'il se souviendrait ? Elle prit le bras de William et l'insistat a la regarder. Elle plongea profondément dans son regard et prit un air neutre.

-Ton frère...

[désolée pas très long mais j'ai pas d'inspiration, et puis j'ai plein de RP en retards ^^ xD]